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Elaia mène le tour d’amorçage de 3 millions d’euros (dont une part de financements non dilutifs) bouclé par Pixacare, éditeur d’un logiciel de suivi de la cicatrisation de plaies, suivi par un autre nouvel entrant, Bpifrance, et par ses actionnaires existants, 50 Partners et des business angels. Ces derniers ont déjà investi 2 millions d’euros dans la start-up il y a plus de deux ans. Dans l’intervalle, Pixacare a déployé son programme dans une trentaine d’hôpitaux en France et en Belgique qui en ont fait bénéficier 70 000 patients. Sur la base d’une photo de la plaie, le logiciel améliore le contrôle de la cicatrisation et donne la possibilité aux médecins d’en assurer le suivi à domicile. En outre, ils automatisent et standardisent la réalisation des compte-rendus d’examens. Suite à ce tour d’amorçage, la start-up veut amplifier son développement commercial, direct auprès des établissements de soin, en France et en Europe. Elle doit aussi mener des processus cliniques et réglementaires afin d’obtenir des marquages CE supplémentaires pour certaines de ses fonctionnalités d’intelligence artificielle et bénéficier d’une prise en charge de son dispositif par la Sécurité sociale. Si celui-ci est principalement utilisé pour du soin, un autre cas d’usage commence à apparaître dans le cadre d’essais cliniques. Pixacare emploie une vingtaine de personnes.
Elaia mène le tour d’amorçage de 3 millions d’euros (dont une part de financements non dilutifs) bouclé par Pixacare, éditeur d’un logiciel de suivi de la cicatrisation de plaies, suivi par un autre nouvel entrant, Bpifrance, et par ses actionnaires existants, 50 Partners et des business angels. Ces derniers ont déjà investi 2 millions d’euros dans la start-up il y a plus de deux ans. Dans l’intervalle, Pixacare a déployé son programme dans une trentaine d’hôpitaux en France et en Belgique qui en ont fait bénéficier 70 000 patients. Sur la base d’une photo de la plaie, le logiciel améliore le contrôle de la cicatrisation et donne la possibilité aux médecins d’en assurer le suivi à domicile. En outre, ils automatisent et standardisent la réalisation des compte-rendus d’examens. Suite à ce tour d’amorçage, la start-up veut amplifier son développement commercial, direct auprès des établissements de soin, en France et en Europe. Elle doit aussi mener des processus cliniques et réglementaires afin d’obtenir des marquages CE supplémentaires pour certaines de ses fonctionnalités d’intelligence artificielle et bénéficier d’une prise en charge de son dispositif par la Sécurité sociale. Si celui-ci est principalement utilisé pour du soin, un autre cas d’usage commence à apparaître dans le cadre d’essais cliniques. Pixacare emploie une vingtaine de personnes.