Les build up sont poussés par l’affluence accrue d’actifs sur le marché. Elle provient à la fois des sociétés de gestion désireuses de se séparer de leur participations longtemps restées en portefeuille, mais aussi de la hausse des carve out menés par les grands groupes, décrypte le Baromètre EY “Global Capital Confidence” paru début avril. Ainsi presque la totalité des dirigeants d’entreprise français étudient activement au moins deux opportunités de croissance externe. C’est même l’international qui attire nos dirigeants qui sont 89 % à envisager le rachat d’entreprises étrangères.
Le build up plébiscité en France
Les build up sont poussés par l’affluence accrue d’actifs sur le marché. Elle provient à la fois des sociétés de gestion désireuses de se séparer de leur participations longtemps restées en portefeuille, mais aussi de la hausse des carve out menés par les grands groupes, décrypte le Baromètre EY “Global Capital Confidence” paru début avril. Ainsi presque la totalité des dirigeants d'entreprise français étudient activement au moins deux opportunités de croissance externe. C’est même l’international qui attire nos dirigeants qui sont 89 % à envisager le rachat d'entreprises étrangères.