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Abolis Technologies s’est offert une levée de 35 millions d’euros pour fêter ses 10 ans d’existence. Il s’agit seulement de sa deuxième opération de ce type, la précédente, de 1,1 million d’euros, remontant à 2017. Les actionnaires impliqués dans ce premier tour de financement, Medevice Capital et des business angels, sont sortis à l’occasion de la nouvelle levée, abondée par deux fonds de corporate venture, Bold (L’Oréal) et Evonilk Venture Capital, et plusieurs investisseurs internationaux comme Clay Capital (Singapour), DeepTech & Climate Fonds (Allemagne), Icos Capital (multi-CVC néerlandais) et Liberset (Europe/Etats-Unis). Abolis vend à des clients industriels - la relation avec L’Oréal et Evonik a démarré par des discussions commerciales avant d’aboutir à un deal capitalistique - une technologie de biomanufacturing d’ingrédients entrant dans la composition de produits cosmétiques, de compléments alimentaires ou de médicaments. A l’équilibre financier chaque année, réalisant environ 4 millions d’euros de chiffre d’affaires, elle entre dans une phase de structuration de ses fonctions support et de renforcement de ses forces commerciales. L’enjeu est de concevoir des produits plus matures, à plus forte valeur ajoutée, et donc plus chers, tout en restant dans un position de sous-traitant des industriels. La société démarre aussi un passage en revue des opportunités de développement en Asie. En parallèle de cette activité principale de biomanufacturing, Abolis a ouvert un « microbiome studio » dont il souhaite aussi assurer la montée en charge et la monétisation des travaux.
Abolis Technologies s’est offert une levée de 35 millions d’euros pour fêter ses 10 ans d’existence. Il s’agit seulement de sa deuxième opération de ce type, la précédente, de 1,1 million d’euros, remontant à 2017. Les actionnaires impliqués dans ce premier tour de financement, Medevice Capital et des business angels, sont sortis à l’occasion de la nouvelle levée, abondée par deux fonds de corporate venture, Bold (L’Oréal) et Evonilk Venture Capital, et plusieurs investisseurs internationaux comme Clay Capital (Singapour), DeepTech & Climate Fonds (Allemagne), Icos Capital (multi-CVC néerlandais) et Liberset (Europe/Etats-Unis). Abolis vend à des clients industriels - la relation avec L’Oréal et Evonik a démarré par des discussions commerciales avant d’aboutir à un deal capitalistique - une technologie de biomanufacturing d’ingrédients entrant dans la composition de produits cosmétiques, de compléments alimentaires ou de médicaments. A l’équilibre financier chaque année, réalisant environ 4 millions d’euros de chiffre d’affaires, elle entre dans une phase de structuration de ses fonctions support et de renforcement de ses forces commerciales. L’enjeu est de concevoir des produits plus matures, à plus forte valeur ajoutée, et donc plus chers, tout en restant dans un position de sous-traitant des industriels. La société démarre aussi un passage en revue des opportunités de développement en Asie. En parallèle de cette activité principale de biomanufacturing, Abolis a ouvert un « microbiome studio » dont il souhaite aussi assurer la montée en charge et la monétisation des travaux.
