La recherche de transparence s’intensifie pour les investisseurs en private equity, selon une récente étude orchestrée par State Street et conduite par Citigate Dewe Rogerson. En effet, 82% des 118 LPs répondants jugent que le niveau de demande de transparence autour des risques et de la performance des sociétés de gestion va augmenter. Cette anticipation des investisseurs n’est pas sans conséquence, puisque pour 36% des sondés, l’absence d’augmentation de la transparence des GPs engendrerait une diminution de leur allocation à cette classe d’actif. Ce chiffre est en ligne avec la réponse donnée par 38% des institutionnels qui estiment que le manque d’augmentation de la transparence des investissements constitue l’obstacle le plus important à une augmentation de leur exposition au private equity. Le sujet tend donc à prendre une place de plus en plus prépondérante dans la gestion des fonds qui, au regard des évolutions récentes (AIFM, PRI…), doivent aligner leurs pratiques sur celles du public equity.
Des LPs avides de transparence
La recherche de transparence s’intensifie pour les investisseurs en private equity, selon une récente étude orchestrée par State Street et conduite par Citigate Dewe Rogerson. En effet, 82% des 118 LPs répondants jugent que le niveau de demande de transparence autour des risques et de la performance des sociétés de gestion va augmenter. Cette anticipation des investisseurs n’est pas sans conséquence, puisque pour 36% des sondés, l’absence d’augmentation de la transparence des GPs engendrerait une diminution de leur allocation à cette classe d’actif. Ce chiffre est en ligne avec la réponse donnée par 38% des institutionnels qui estiment que le