« Le démarrage d’Alpha II, confirme un deal flow intéressant d’opportunités à l’international, entre autres dans la péninsule ibérique », Anne-Sophie Carrese, Elaia
Les planètes s’alignent favorablement pour l’équipe deeptech d’Elaia. Elle a pu annoncer coup sur coup la première sortie de son fonds Alpha II, monté en partenariat avec l’Inria et dont le deal flow est en partie alimenté par le start-up studio de la maison, et son closing final à 77 millions d’euros. D’une taille cible de 65 millions avec un hard cap à 90 millions d’euros, il est ainsi d’une ampleur équivalente aux deux fonds dont il est l’héritier : Alpha I, doté de 46 millions d’euros en 2012, et l’ex-IT Translation, enveloppe de 30 millions d’euros allouée par l’Inria à des investissements en amorçage que gère Elaia depuis début 2020. Aux institutionnels comme Bpifrance, Covéa Finance ou BNP Paribas présents dès le premier closing se sont ajoutés plusieurs industriels parmi lesquels figurent Vinci ou L’Oréal entre autres.