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D.R.

La hausse de la valeur des titres des entreprises, multipliée par 2,56 entre l’entrée et la sortie (2,58 en 2017), est le principal facteur de soutien à cette croissance, précise France Invest. En clair, les investissements, recrutements et autres build-up permis par l’entrée d’un fonds soutiennent les résultats des participations, et donc leur valeur. Dans le détail, la croissance organique a permis d’assurer 54% de la hausse de l’EBE des entreprises cédées en 2018 tandis que les acquisitions en ont représenté 31% et les réductions de coûts 15%. Dans une autre étude, France Invest signale que les entreprises soutenues par des fonds français (échantillon de 3 301 sociétés) ont vu leur chiffre d’affaires cumulé croître en organique de 6,2% en 2018 (8,2% avec les acquisitions et cessions), à 207 milliards d’euros.

Pour les sorties 2018, cet « effet résultat » a représenté 70% de la création de valeur, en hausse de 4 points par rapport à 2017. Le reste de la création de valeur tient à l’ « effet multiple » (31%) alors que l’ « effet désendettement » a été négatif de 1% pour la deuxième année consécutive. Sur ce point, France Invest identifie une baisse du ratio d’endettement des participations cédées en 2018 de 1,4 point, à 2,8 fois l’EBE, tous millésimes confondus.

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