« Il nous semble intéressant de rester positionnés sur des dossiers de petite taille, généralement valorisés entre 50 et 150 millions d’euros, que ces acteurs à plusieurs milliards d’euros ne peuvent couvrir », Matthieu Poisson, Amundi Transition énergétique
« Dans le contexte que nous avons connu ces dernières années de forte augmentation de la taille des fonds d’infrastructures, il nous semble intéressant de rester positionnés sur des dossiers de petite taille, généralement valorisés entre 50 et 150 millions d’euros, que ces acteurs à plusieurs milliards d’euros ne peuvent couvrir. En outre, cela nous permet de conserver un taux élevé de deals propriétaires, menés de gré à gré avec les développeurs : ils ont représenté 80% de notre premier programme Alba 1 ». Bien décidé à jouer cette carte différenciatrice de la proximité, Matthieu Poisson, directeur général d’Amundi Transition énergétique, s’appuie sur le maillage des caisses régionales du Crédit Agricole afin d’optimiser son sourcing.