Audacia se dote d’une nouvelle stratégie deeptech, liée cette fois à la décarbonation. Après le quantique, l’agroalimentaire ou le new space, la plateforme a lancé Exergon pour couvrir quatre verticales que sont le nouveau nucléaire, l’hydrogène, le stockage d’énergie est l’efficacité énergétique. « Il s’agit de financer toutes les technologies innovantes voire de rupture permettant d’accélérer la transition énergétique, liées bien souvent à du hardware, résume son managing partner Giuseppe Sangiovanni. L’intensité capitalistique n’étant pas la même entre les quatre secteurs dans lesquels nous investissons, nous nous sommes donné la possibilité d’entrer au capital des entreprises à des stades de maturité différents, depuis le pré-amorçage et la co-création d’une start-up jusqu’à des séries C. De ce fait, notre amplitude de tickets est très large, de 300 000 à 30 millions d’euros, avec pour objectif de réaliser huit opérations par verticale ». Audacia ambitionne de doter Exergon d’un fonds de 300 millions d’euros : sa levée a démarré et un premier closing est envisagé autour d’une centaine de millions avant la fin de l’année. Comme il le fait habituellement, le VC a fait appel à quelques investisseurs proches, essentiellement des family offices et des entrepreneurs, pour constituer une première poche permettant d’amorcer la phase de déploiement. Il a ainsi mené à bien ses deux premiers investissements et en négocie actuellement quatre autres.
Décarbonation : Exergon (Audacia) démarre sa levée et son déploiement
Audacia se dote d'une nouvelle stratégie deeptech, liée cette fois à la décarbonation. Après le quantique, l’agroalimentaire ou le new space, la plateforme a lancé Exergon pour couvrir quatre verticales que sont le nouveau nucléaire, l’hydrogène, le stockage d’énergie est l’efficacité énergétique. « Il s’agit de financer toutes les technologies innovantes voire de rupture permettant d’accélérer la transition énergétique, liées bien souvent à du hardware, résume son managing partner Giuseppe Sangiovanni. L’intensité capitalistique n’étant pas la même entre les quatre secteurs dans lesquels nous investissons, nous nous sommes donné la possibilité d’entrer au capital des entreprises à des stades de maturité