« Nous sommes actuellement dans cette phase de structuration visant à exploiter au maximum les synergies qui sont à portée de main au sein du groupe », Isabelle Combarel, Arkéa Capital
Soumises à des réglementations toujours plus contraignantes en termes d’utilisation de leurs fonds propres, certaines banques s’interrogent sur la manière de faire évoluer leurs branches dédiées au capital-investissement, consommatrices de capitaux et en même temps très rentables. À ce questionnement structurel s’en ajoute un autre, propre cette fois-ci aux caisses régionales et à leurs captives, lié à la taille, par définition limitée, de leur zone d’intervention. Pour continuer à faire croître ces activités en s’accommodant de l’ensemble de ces contraintes, chaque groupe a sa façon de faire. Des questions communes à tous, des réponses au cas par cas : Private Equity Magazine a choisi de s’arrêter sur trois exemples.
1 – Institutionnels, particuliers, impact : Arkéa Capital se démultiplie