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Freeland porte le chiffre d’affaires de sa branche dédiée au staffing de freelances, qui consiste à gérer des pools d’indépendants qu’il met à disposition de ses clients, à 100 millions d’euros suite au rachat de l’ESN Asenium (27 millions d’euros de chiffre d’affaires). La banque d’affaires Crescendo a mis les deux dirigeants en relation puis les discussions se sont déroulées en gré à gré, sans process concurrentiel. Asenium est intégralement composée de consultants indépendants qui complètent les troupes de Freeland dont la spécialité est depuis le début le secteur de l’IT. Ils leur amènent de surcroît une expertise sur les ERP et les CRM dont elles étaient dépourvues jusqu’à présent. Enfin, Asenium possède des filiales en Suisse, aux Etats-Unis et au Brésil, ouvrant des perspectives de déploiement international au groupe. Ce build-up est le premier depuis que Freeland est entré dans le portefeuille de MML Capital Partners, l’année dernière, après un LBO primaire mené par l’Idi. Ce dernier a réinvesti et Bpifrance a mis un ticket dans le nouveau tour de table. Ces actionnaires n’ont pas eu besoin de remettre au pot pour financer le rachat d’Asenium pour lequel la société a tiré sur les lignes de dette mises en place il y a un an. Dans le plan établi avec MML, Freeland prévoit de faire croître cette activité de staffing jusqu’à 400 millions d’euros de chiffre d’affaires. Il vise le même niveau pour son pôle dédié au portage salarial, son métier principal et historique, qui affiche déjà environ 300 millions d’euros de revenus.
MML Capital Partners : Louis de Montille. Freeland : Patrick Levy-Waitz, Hubert Camus, Jonathan Sarfati. Asenium : Franck Bedoucha
Freeland porte le chiffre d’affaires de sa branche dédiée au staffing de freelances, qui consiste à gérer des pools d’indépendants qu’il met à disposition de ses clients, à 100 millions d’euros suite au rachat de l’ESN Asenium (27 millions d’euros de chiffre d’affaires). La banque d’affaires Crescendo a mis les deux dirigeants en relation puis les discussions se sont déroulées en gré à gré, sans process concurrentiel. Asenium est intégralement composée de consultants indépendants qui complètent les troupes de Freeland dont la spécialité est depuis le début le secteur de l’IT. Ils leur amènent de surcroît une expertise sur les ERP et les CRM dont elles étaient dépourvues jusqu’à présent. Enfin, Asenium possède des filiales en Suisse, aux Etats-Unis et au Brésil, ouvrant des perspectives de déploiement international au groupe. Ce build-up est le premier depuis que Freeland est entré dans le portefeuille de MML Capital Partners, l’année dernière, après un LBO primaire mené par l’Idi. Ce dernier a réinvesti et Bpifrance a mis un ticket dans le nouveau tour de table. Ces actionnaires n’ont pas eu besoin de remettre au pot pour financer le rachat d’Asenium pour lequel la société a tiré sur les lignes de dette mises en place il y a un an. Dans le plan établi avec MML, Freeland prévoit de faire croître cette activité de staffing jusqu’à 400 millions d’euros de chiffre d’affaires. Il vise le même niveau pour son pôle dédié au portage salarial, son métier principal et historique, qui affiche déjà environ 300 millions d’euros de revenus.
MML Capital Partners : Louis de Montille. Freeland : Patrick Levy-Waitz, Hubert Camus, Jonathan Sarfati. Asenium : Franck Bedoucha
